La vie ne vient pas avec un manuel, elle vient avec une mère-
Chères mères… il n’y a pas de rôle plus difficile ou plus grand sur Terre… Vous êtes ce que nous avons de plus proche des anges et les louanges ne suffiront jamais à ceux d’entre nous qui ont encore la chance d’avoir… Pour ceux qui ont perdu… que l’amour et le réconfort des souvenirs et des leçons enseignées vous portent à travers cette journée et chaque
La mascarade Gèlèdé, Bénin. À la gloire de « awon iya wa », nos mères – un hommage yoruba aux pouvoirs spirituels des femmes.
La forêt sacrée d’Osun-Osogbo, site du patrimoine mondial de l’UNESCO au Nigeria, s’étend sur 75 hectares d’héritage culturel yoruba. Il est consacré à Osun, la déesse de la fertilité, et comprend une quarantaine de sanctuaires, des sculptures anciennes et la rivière Osun qui serpente. Le festival annuel d’Osun-Osogbo apporte une touche de couleur, attirant pèlerins et touristes à ses cérémonies sacrées.
C’est aussi une victoire pour la conservation. Face à la menace de l’empiètement urbain, la Fondation pour la conservation de la forêt sacrée d’Osun-Osogbo et le gouvernement de l’État d’Osun ont collaboré pour la protéger. Aujourd’hui, ce sanctuaire, qui abrite plus de 400 espèces de plantes, dont certaines ont des propriétés médicinales, est le dernier bastion des hautes forêts primaires du Nigeria.
Fusion de coutumes anciennes et de sculptures modernes, il constitue un phare de l’identité yoruba, jetant un pont entre le passé, le présent et l’avenir. Explorez la pharmacie naturelle, vivez les rituels animés au bord de la rivière Osun et participez au mouvement international de sauvegarde de cet emblème durable de l’endurance culturelle et de la splendeur écologique.
La Matriache du peuple Baoulé
En l’honneur de cette journée, nous souhaitons mettre en lumière une mère de l’histoire africaine qui s’est sacrifiée pour son peuple.
Awura Pokou/reine Pokou, matriarche du peuple Baoulé. Dans les années 1700, elle a conduit son peuple à émigrer en Côte d’Ivoire depuis l’actuel Ghana, craignant d’être persécutée par les Ashanti. Au cours de leur périple, ils ont abordé une rivière dont le courant était trop fort pour être traversé. Selon la légende, pour sauver son peuple, Pokou dut sacrifier ce qui lui était le plus cher pour plaire aux dieux : son fils en bas âge. Un chemin se dessine alors dans la rivière, qu’ils franchissent. Après avoir traversé, elle cria « Ba Ouli ! », ce qui signifie « l’enfant est mort ». C’est le nom de l’ethnie et du royaume qu’elle a fondé. Aujourd’hui, les Baoulés constituent le groupe ethnique le plus important de Côte d’Ivoire.
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Ancient Origins
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